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LAURENT GIROUX
LAURENT GIROUX
Consultant - Evaluateur externe / sas DEFIS

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Ayant commencé sa carrière au sein d'une DDASS et d'un CODERPA, il a ensuite mis en place, en tant que coordonnateur, plusieurs CLIC au sein d'un département pour ensuite devenir chargé de développement et responsable de secteur d'une structure de service à domicile. Fort de cette expérience il a créé la première coopérative de service à domicile des Pays de la Loire reconnue d'utilité sociale. Aujourd'hui, en plus d'être consultant en «politiques gérontologiques», Laurent Giroux enseigne au sein de plusieurs universités. Il est administrateur d'un EHPAD en tant qu'élu d'une commune. Il est enfin président d'une URSSAF depuis janvier 2012.

Société / Organisme

+ Membre du groupe de travail "Qualité de service en téléassistance" (AFNOR QSTACN), + Consultant - Évaluateur externe, sas DEFIS (habilité par l'Anesm), + Enseignant vacataire pour les étudiants en Master de Sciences Économiques et de Gestion à la faculté de Droit, des Sciences Économiques et de Gestion de l’Université du Maine, « Management du Tiers Secteur », et au Pôle Universitaire d’Alençon (Université de Caen), DUT « carrières sociales » et Licence professionnelle « Directeur des structures de services à la personne » + Président d’une URSSAF

Ses dernières chroniques

Services à la personne 05/11/2012

Le mode mandataire est-il toujours pertinent pour un service à domicile ?

Avant d'opter pour le statut de mandataire, les services d'aide à domicile doivent y réflechir à deux fois.

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Services à la personne 19/10/2012

Non, ce n'est pas de la concurrence déloyale...

Un organisme, comme la MSA ou la CARSAT, a-t-il le droit de ne pas conventionner avec un service à domicile dit "commercial" ? Une commune peut-elle sans risque subventionner un service à domicile ? Est-ce une atteinte à la libre concurrence ? Est-ce de la concurrence déloyale ?

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Etablissements et services 12/10/2012

De l'utilité d'un conseil de la vie sociale au sein d'un service à domicile

Lorsque, co-gérant d'un service à domicile, j'ai proposé l'idée de mettre en place un conseil de la vie sociale, il faut l'avouer : cela n'a pas été la joie de la part de mon entourage. J'avoue aussi que, moi-même, je ne savais pas trop où « je m'embarquai ».

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