Votre recherche : "En quête de sens"

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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". Après huit ans à la rue, Marie a trouvé un logement et un emploi : elle exerce depuis deux ans comme travailleuse paire dans le service grenoblois Totem, qui accompagne des personnes sans domicile dans la perspective du « logement d’abord ».
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S'engager dans les métiers du secteur médico-social, c'est oser la rencontre avec les fragilités, affronter des situations humaines complexes et difficiles. Les professionnels s'autorisent rarement à l'envisager sous l'angle du plaisir au travail. Pourtant, il est souvent présent, quand l'organisation s'y prête et qu'ils trouvent du sens dans leur mission.
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Il est possible de se former aux métiers du social en suivant un cursus universitaire. C'est le cas d'Anne-Laurie Pilar, en licence professionnelle d'animation sociale à l'IUT de Bobigny. Elle raconte comment l'engagement citoyen a déclenché cette envie de travailler en animation et pourquoi elle se sent à l'aise dans le cadre associatif.
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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". A l’instar d’Alexandre Pélissier, 18 ans, qui vit à l’Institut d’éducation motrice (IEM) de Talence. Physiquement paralysé, il raconte son parcours et tient à valoriser le travail de l’équipe pluridisciplinaire de l’établissement.
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Après Tours, Cergy, Canteleu (Seine-Maritime), Créteil, Reims, Echirolles (Isère), Montrouge (Hauts-de-Seine), nous voilà à l'IRTS Parmentier, à Paris, pour rencontrer Delphine Weyneesch, en 2e année de formation de TISF. Cette jeune femme originaire du Sud de la France explique la valeur ajoutée de cette intervention au plus près des familles.
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées"... Parce qu’il a connu la précarité, Aldo Maggiore a fait de l’accueil des exclus dans les structures sociales son cheval de bataille. Et relaie leur parole, à Toulouse et au-delà.
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Pour cette dixième étape, notre série de portraits d'étudiants en travail social part à la rencontre de Flore Neubauer, en deuxième année d'assistant de service social à l'IRTS Montrouge. Cette jeune trentenaire qui a multiplié les expériences à l'étranger a décidé, après mure réflexion, de travailler dans le social. Elle nous explique pourquoi.
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Etudiant à l'IRTS Parmentier à Paris, Ludovic Ricco présente une double originalité. Il suit une formation de conseiller en économie sociale et familiale (CESF), très largement féminine. Et il effectue son stage long dans le cadre d'une entreprise alors que les CESF officient souvent dans des structures publiques ou associatives. Portrait d'un étudiant atypique.
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Notre série "A voix haute" donne la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : "usagers", ou "personnes accompagnées''. Mougnal, 27 ans, a fui la Guinée pour la France. Sa demande d'asile rejetée par l'Ofpra, il a formé un recours devant la Cour nationale du droit d'asile (CNDA). Il attend la date de son audience et l'obtention, ou non, du statut de réfugié.
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Comment une éducatrice, arrivée par la petite porte dans le social, construit son itinéraire professionnel jusqu'à s'engager dans une formation Caferuis pour devenir chef de service ? Stéphanie Roa, étudiante à l'IFTS d'Echirolles, raconte son parcours dans notre série de portraits d'étudiants en travail social qui se poursuit en janvier.