Votre recherche : "En quête de sens"

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Il est possible de se former aux métiers du social en suivant un cursus universitaire. C'est le cas d'Anne-Laurie Pilar, en licence professionnelle d'animation sociale à l'IUT de Bobigny. Elle raconte comment l'engagement citoyen a déclenché cette envie de travailler en animation et pourquoi elle se sent à l'aise dans le cadre associatif.
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S'engager dans les métiers du secteur médico-social, c'est oser la rencontre avec les fragilités, affronter des situations humaines complexes et difficiles. Les professionnels s'autorisent rarement à l'envisager sous l'angle du plaisir au travail. Pourtant, il est souvent présent, quand l'organisation s'y prête et qu'ils trouvent du sens dans leur mission.
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Etudiant à l'IRTS Parmentier à Paris, Ludovic Ricco présente une double originalité. Il suit une formation de conseiller en économie sociale et familiale (CESF), très largement féminine. Et il effectue son stage long dans le cadre d'une entreprise alors que les CESF officient souvent dans des structures publiques ou associatives. Portrait d'un étudiant atypique.
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : "usagers", "bénéficiaires", "personnes accompagnées". Atteinte d’une amyotrophie spinale, Céline Perdreau emploie 5 auxiliaires de vie qui se relaient à son domicile 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Et défend une conception exigeante du positionnement de ces professionnels.
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Pour clôturer cette série de portraits d'étudiants en travail social, nous vous proposons les paroles croisées de Delphine Daval et Vincent Gay, en formation Cafdes à l'Irtess de Bourgogne. Venant d'horizons professionnels différents, ils expliquent comment ils se mettent dans la peau d'un directeur. Entre acquisition de compétences et cheminement personnel.
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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". A l’instar d’Alexandre Pélissier, 18 ans, qui vit à l’Institut d’éducation motrice (IEM) de Talence. Physiquement paralysé, il raconte son parcours et tient à valoriser le travail de l’équipe pluridisciplinaire de l’établissement.
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées"... Parce qu’il a connu la précarité, Aldo Maggiore a fait de l’accueil des exclus dans les structures sociales son cheval de bataille. Et relaie leur parole, à Toulouse et au-delà.
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Notre nouvelle série, "A voix haute", a pour ambition de donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées". Et c'est avec Hamidou que l'on inaugure l'exercice : ce mineur isolé étranger a dû batailler 6 mois avant d'obtenir une prise en charge par la protection de l'enfance.
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Notre série de portraits d'étudiants en travail social s'étoffe avec celui de Laurène Jouffrey, en formation d'aide médico-psychologique (AMP) dans l'Isère. Pour cette femme de 29 ans, le choix de travailler dans le social s'est imposé au fil d'un parcours chaotique marqué par une grande désillusion. Cette formation d'AMP l'aide à devenir une "vraie professionnelle".
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Pour notre huitième portrait, nous avons pris le chemin de Reims pour rencontrer Ornella Mizzon, une étudiante en 3e année d'éducateur spécialisé de l'IRTS Champagne-Ardenne. A 29 ans, Ornella a déjà un parcours impressionnant ponctué notamment par un stage épique en Angleterre. Pour elle, être travailleur social rime avec l'ouverture.