Votre recherche : "étudiants en travail social"

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En suspendant l'application de la gratification des stages dans les fonctions publiques hospitalière et territoriale pour les étudiants en travail social, la ministre de l'enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, a permis une sortie de crise. Mais le problème de la précarité étudiante reste entier, tout comme la nécessité de repenser en profondeur les conditions de l'alternance intégrative.
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Alors qu'il n'a cessé d'augmenter de 1987 à 2010, le nombre d'étudiants en travail social baisse. Face au phénomène, toutes les filières ne sont pas égales. Alors que les métiers les plus engagés reculent - assistant social, éducateur spécialisé - ceux qui touchent la famille et l'enfance affichent une progression continue. Le reflet d'une tendance sociétale ?
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Le secteur social n'a pas attendu l'échéance - imminente - de l'harmonisation des diplômes européens pour franchir le cap de l'international. Des passerelles existent déjà, qui impliquent des étudiants en travail social, mais aussi des professionnels ou des usagers. L'occasion de s'enrichir des expériences et savoir-faire développés hors de l'Hexagone.
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Face aux difficultés rencontrées par les étudiants en travail social pour trouver des stages, le Sénat a adopté une proposition de loi suspendant l'obligation de gratification. La mesure est contestée sur le terrain, et les pouvoirs publics suspectés de jouer la montre et de laisser les choses s'enliser. Une situation inquiétante à quelques mois de la rentrée.
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En 2014, 62 000 étudiants, dont plus de 80 % de femmes, étaient inscrits dans des filières de travail social. Un tiers suivait une formation de niveau V et près de la moitié de niveau III. L'âge moyen est élevé (31 ans), traduisant souvent une reprise d'activité. Avec une exception de taille pour les formations de niveau III dans lesquelles la moyenne d'âge est de 24 ans.
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Pour clôturer cette série de portraits d'étudiants en travail social, nous vous proposons les paroles croisées de Delphine Daval et Vincent Gay, en formation Cafdes à l'Irtess de Bourgogne. Venant d'horizons professionnels différents, ils expliquent comment ils se mettent dans la peau d'un directeur. Entre acquisition de compétences et cheminement personnel.
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Pour cette dixième étape, notre série de portraits d'étudiants en travail social part à la rencontre de Flore Neubauer, en deuxième année d'assistant de service social à l'IRTS Montrouge. Cette jeune trentenaire qui a multiplié les expériences à l'étranger a décidé, après mure réflexion, de travailler dans le social. Elle nous explique pourquoi.
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On peut être étudiant en travail social en approchant la quarantaine. On peut découvrir sur le tard l'intérêt de ces professions centrées sur l'accompagnement des personnes en difficultés. C'est le cas de Céline Perry qui, après diverses expériences professionnelles, a choisi de se reconvertir et de reprendre des études d'assistante sociale. Suite de notre série de portraits.
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Nous poursuivons notre série de portraits d'étudiants en travail social. Cette semaine, direction Reims pour une rencontre avec Ophélie Chapuis, future monitrice éducatrice. Son choix professionnel est intervenu après un parcours sinueux et avec la ferme intention de démarrer le métier par le bas. Et de ne pas abandonner son franc-parler.
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Notre série de portraits d'étudiants en travail social s'étoffe avec celui de Laurène Jouffrey, en formation d'aide médico-psychologique (AMP) dans l'Isère. Pour cette femme de 29 ans, le choix de travailler dans le social s'est imposé au fil d'un parcours chaotique marqué par une grande désillusion. Cette formation d'AMP l'aide à devenir une "vraie professionnelle".