Votre recherche : "En quête de sens"

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Il est possible de se former aux métiers du social en suivant un cursus universitaire. C'est le cas d'Anne-Laurie Pilar, en licence professionnelle d'animation sociale à l'IUT de Bobigny. Elle raconte comment l'engagement citoyen a déclenché cette envie de travailler en animation et pourquoi elle se sent à l'aise dans le cadre associatif.
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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". Eric Jayat et André Boiron ont longtemps été incarcérés. A l'affiche depuis trois ans de la pièce de théâtre, "Une longue peine" et au cœur du documentaire "Après l'ombre", qui vient de sortir, ils reviennent pour nous sur leur parcours.
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Etudiant à l'IRTS Parmentier à Paris, Ludovic Ricco présente une double originalité. Il suit une formation de conseiller en économie sociale et familiale (CESF), très largement féminine. Et il effectue son stage long dans le cadre d'une entreprise alors que les CESF officient souvent dans des structures publiques ou associatives. Portrait d'un étudiant atypique.
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Après Tours, Cergy, Canteleu (Seine-Maritime), Créteil, Reims, Echirolles (Isère), Montrouge (Hauts-de-Seine), nous voilà à l'IRTS Parmentier, à Paris, pour rencontrer Delphine Weyneesch, en 2e année de formation de TISF. Cette jeune femme originaire du Sud de la France explique la valeur ajoutée de cette intervention au plus près des familles.
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Comment une éducatrice, arrivée par la petite porte dans le social, construit son itinéraire professionnel jusqu'à s'engager dans une formation Caferuis pour devenir chef de service ? Stéphanie Roa, étudiante à l'IFTS d'Echirolles, raconte son parcours dans notre série de portraits d'étudiants en travail social qui se poursuit en janvier.
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Pour cette dixième étape, notre série de portraits d'étudiants en travail social part à la rencontre de Flore Neubauer, en deuxième année d'assistant de service social à l'IRTS Montrouge. Cette jeune trentenaire qui a multiplié les expériences à l'étranger a décidé, après mure réflexion, de travailler dans le social. Elle nous explique pourquoi.
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées"... Parce qu’il a connu la précarité, Aldo Maggiore a fait de l’accueil des exclus dans les structures sociales son cheval de bataille. Et relaie leur parole, à Toulouse et au-delà.
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On peut être étudiant en travail social en approchant la quarantaine. On peut découvrir sur le tard l'intérêt de ces professions centrées sur l'accompagnement des personnes en difficultés. C'est le cas de Céline Perry qui, après diverses expériences professionnelles, a choisi de se reconvertir et de reprendre des études d'assistante sociale. Suite de notre série de portraits.
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Notre série de portraits d'étudiants en travail social s'étoffe avec celui de Laurène Jouffrey, en formation d'aide médico-psychologique (AMP) dans l'Isère. Pour cette femme de 29 ans, le choix de travailler dans le social s'est imposé au fil d'un parcours chaotique marqué par une grande désillusion. Cette formation d'AMP l'aide à devenir une "vraie professionnelle".
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Pour notre huitième portrait, nous avons pris le chemin de Reims pour rencontrer Ornella Mizzon, une étudiante en 3e année d'éducateur spécialisé de l'IRTS Champagne-Ardenne. A 29 ans, Ornella a déjà un parcours impressionnant ponctué notamment par un stage épique en Angleterre. Pour elle, être travailleur social rime avec l'ouverture.