Votre recherche : "En quête de sens"

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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". A l’instar d’Alexandre Pélissier, 18 ans, qui vit à l’Institut d’éducation motrice (IEM) de Talence. Physiquement paralysé, il raconte son parcours et tient à valoriser le travail de l’équipe pluridisciplinaire de l’établissement.
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées"... Agathe est une femme pétillante de 37 ans, préoccupée du bien-être des autres. Témoigner ? : « Évidemment que je suis d'accord. J'ai plein de choses à dire et je crois que c'est important qu'on nous écoute. »
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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". Après huit ans à la rue, Marie a trouvé un logement et un emploi : elle exerce depuis deux ans comme travailleuse paire dans le service grenoblois Totem, qui accompagne des personnes sans domicile dans la perspective du « logement d’abord ».
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées"... Parce qu’il a connu la précarité, Aldo Maggiore a fait de l’accueil des exclus dans les structures sociales son cheval de bataille. Et relaie leur parole, à Toulouse et au-delà.
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Pour clôturer cette série de portraits d'étudiants en travail social, nous vous proposons les paroles croisées de Delphine Daval et Vincent Gay, en formation Cafdes à l'Irtess de Bourgogne. Venant d'horizons professionnels différents, ils expliquent comment ils se mettent dans la peau d'un directeur. Entre acquisition de compétences et cheminement personnel.
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : "usagers", "bénéficiaires", "personnes accompagnées". Atteinte d’une amyotrophie spinale, Céline Perdreau emploie 5 auxiliaires de vie qui se relaient à son domicile 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Et défend une conception exigeante du positionnement de ces professionnels.
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Après Tours, Cergy, Canteleu (Seine-Maritime), Créteil, Reims, Echirolles (Isère), Montrouge (Hauts-de-Seine), nous voilà à l'IRTS Parmentier, à Paris, pour rencontrer Delphine Weyneesch, en 2e année de formation de TISF. Cette jeune femme originaire du Sud de la France explique la valeur ajoutée de cette intervention au plus près des familles.
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Pour cette dixième étape, notre série de portraits d'étudiants en travail social part à la rencontre de Flore Neubauer, en deuxième année d'assistant de service social à l'IRTS Montrouge. Cette jeune trentenaire qui a multiplié les expériences à l'étranger a décidé, après mure réflexion, de travailler dans le social. Elle nous explique pourquoi.
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Notre nouvelle série, "A voix haute", a pour ambition de donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées". Et c'est avec Hamidou que l'on inaugure l'exercice : ce mineur isolé étranger a dû batailler 6 mois avant d'obtenir une prise en charge par la protection de l'enfance.
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On peut être étudiant en travail social en approchant la quarantaine. On peut découvrir sur le tard l'intérêt de ces professions centrées sur l'accompagnement des personnes en difficultés. C'est le cas de Céline Perry qui, après diverses expériences professionnelles, a choisi de se reconvertir et de reprendre des études d'assistante sociale. Suite de notre série de portraits.