Votre recherche : "En quête de sens"

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Notre série "A voix haute" donne la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires" ou encore "personnes accompagnées''. Sofia témoigne de son parcours de combattante pour se libérer de l'emprise d'un mari violent et du soutien qu'elle a trouvé au sein d'un accueil de jour pour les femmes victimes de violence.
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Notre série, "A voix haute", a pour ambition de donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées". Monique Maitte a vécu près de dix ans à la rue. Porte-parole des sans-abri alsaciens, très active sur les réseaux sociaux et sur le terrain, elle lutte pour le droit au logement.
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Etudiant à l'IRTS Parmentier à Paris, Ludovic Ricco présente une double originalité. Il suit une formation de conseiller en économie sociale et familiale (CESF), très largement féminine. Et il effectue son stage long dans le cadre d'une entreprise alors que les CESF officient souvent dans des structures publiques ou associatives. Portrait d'un étudiant atypique.
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Comment une éducatrice, arrivée par la petite porte dans le social, construit son itinéraire professionnel jusqu'à s'engager dans une formation Caferuis pour devenir chef de service ? Stéphanie Roa, étudiante à l'IFTS d'Echirolles, raconte son parcours dans notre série de portraits d'étudiants en travail social qui se poursuit en janvier.
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Notre série « A voix haute » veut donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : ceux qu'on nomme "usagers", "bénéficiaires", ou encore "personnes accompagnées"... Parce qu’il a connu la précarité, Aldo Maggiore a fait de l’accueil des exclus dans les structures sociales son cheval de bataille. Et relaie leur parole, à Toulouse et au-delà.
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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". A l’instar d’Alexandre Pélissier, 18 ans, qui vit à l’Institut d’éducation motrice (IEM) de Talence. Physiquement paralysé, il raconte son parcours et tient à valoriser le travail de l’équipe pluridisciplinaire de l’établissement.
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Notre série « A voix haute » cherche à donner la parole à ceux qui n'ont longtemps pas eu voix au chapitre : les "personnes accompagnées". Après huit ans à la rue, Marie a trouvé un logement et un emploi : elle exerce depuis deux ans comme travailleuse paire dans le service grenoblois Totem, qui accompagne des personnes sans domicile dans la perspective du « logement d’abord ».
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Après Tours, Cergy, Canteleu (Seine-Maritime), Créteil, Reims, Echirolles (Isère), Montrouge (Hauts-de-Seine), nous voilà à l'IRTS Parmentier, à Paris, pour rencontrer Delphine Weyneesch, en 2e année de formation de TISF. Cette jeune femme originaire du Sud de la France explique la valeur ajoutée de cette intervention au plus près des familles.
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Notre série de portraits d'étudiants en travail social s'étoffe avec celui de Laurène Jouffrey, en formation d'aide médico-psychologique (AMP) dans l'Isère. Pour cette femme de 29 ans, le choix de travailler dans le social s'est imposé au fil d'un parcours chaotique marqué par une grande désillusion. Cette formation d'AMP l'aide à devenir une "vraie professionnelle".
Le magazine
S'engager dans les métiers du secteur médico-social, c'est oser la rencontre avec les fragilités, affronter des situations humaines complexes et difficiles. Les professionnels s'autorisent rarement à l'envisager sous l'angle du plaisir au travail. Pourtant, il est souvent présent, quand l'organisation s'y prête et qu'ils trouvent du sens dans leur mission.