Votre recherche : "paroles d'étudiants"

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Peut-on, à partir d'un bagage technique, se tourner vers les métiers de l'accompagnement social ? Oui, c'est possible en suivant la formation d'éducateur technique spécialisé. C'est l'histoire de Lou Beurlangey, étudiant à l'Irtess de Bourgogne. Il nous la raconte dans le cadre de notre série de portraits d'étudiants en travail social.
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Il est possible de se former aux métiers du social en suivant un cursus universitaire. C'est le cas d'Anne-Laurie Pilar, en licence professionnelle d'animation sociale à l'IUT de Bobigny. Elle raconte comment l'engagement citoyen a déclenché cette envie de travailler en animation et pourquoi elle se sent à l'aise dans le cadre associatif.
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Comment une éducatrice, arrivée par la petite porte dans le social, construit son itinéraire professionnel jusqu'à s'engager dans une formation Caferuis pour devenir chef de service ? Stéphanie Roa, étudiante à l'IFTS d'Echirolles, raconte son parcours dans notre série de portraits d'étudiants en travail social qui se poursuit en janvier.
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Pour clôturer cette série de portraits d'étudiants en travail social, nous vous proposons les paroles croisées de Delphine Daval et Vincent Gay, en formation Cafdes à l'Irtess de Bourgogne. Venant d'horizons professionnels différents, ils expliquent comment ils se mettent dans la peau d'un directeur. Entre acquisition de compétences et cheminement personnel.
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Après avoir raconté le parcours de deux futurs EJE, d'un éducateur spécialisé et d'une assistante sociale, nous avons rendez-vous avec un professionnel de 33 ans qui termine son diplôme d'Etat d'ingénierie sociale (Deis). Yoann raconte ses motivations, les sacrifices qu'il a dû faire et les changements que cette formation a suscités dans sa façon d'exercer ses fonctions.
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Etudiant à l'IRTS Parmentier à Paris, Ludovic Ricco présente une double originalité. Il suit une formation de conseiller en économie sociale et familiale (CESF), très largement féminine. Et il effectue son stage long dans le cadre d'une entreprise alors que les CESF officient souvent dans des structures publiques ou associatives. Portrait d'un étudiant atypique.
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Après le portrait de deux éducateurs de jeunes enfants et d'un éducateur spécialisé, nous sommes partis à la rencontre de Emilie Caron-Lambert qui se destine à devenir assistante sociale. Son itinéraire n'est pas commun puisqu'elle a commencé par un BEP sanitaire et social. Pour Emilie, être AS, c'est permettre aux gens de changer un peu leur vie, à défaut de changer le monde.
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Après Tours, Cergy, Canteleu (Seine-Maritime), Créteil, Reims, Echirolles (Isère), Montrouge (Hauts-de-Seine), nous voilà à l'IRTS Parmentier, à Paris, pour rencontrer Delphine Weyneesch, en 2e année de formation de TISF. Cette jeune femme originaire du Sud de la France explique la valeur ajoutée de cette intervention au plus près des familles.
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Après avoir "portraité" deux EJE, direction Rouen pour une rencontre avec Julien Huet, en 2e année d'éducateur spécialisé. Pour lui, c'est évident : il travaillera avec des jeunes en déshérence, si possible à la Protection judiciaire de la jeunesse. Un métier qu'il a appris à connaître. Et pour lequel il nourrit une vraie passion, malgré (ou à cause) sa dureté.
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Pour cette dixième étape, notre série de portraits d'étudiants en travail social part à la rencontre de Flore Neubauer, en deuxième année d'assistant de service social à l'IRTS Montrouge. Cette jeune trentenaire qui a multiplié les expériences à l'étranger a décidé, après mure réflexion, de travailler dans le social. Elle nous explique pourquoi.